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Writer's pictureLa Petite Sirène

Paediatric gender medicine: Longitudinal studies have not consistently shown improvement in depression or suicidality

Par Kathleen McDeavitt, Menninger Department of Psychiatry and Behavioral Sciences, Baylor College of Medicine, Houston, Texas, USA


Mai 2024


Abstract Aim:


Systematic literature reviews have found the evidence for hormonal interventions in paediatric-age patients with gender dysphoria is of low certainty. Studies in this field have all been observational, and generally of low quality. Nevertheless, some experts assert that the observational studies in this field have consistently found improvement in mental health, and therefore constitute sufficient evidentiary basis for hormonal interventions. The present review sought to characterise results of the longitudinal clinical research studies that have reported depression and suicidality outcomes. Methods: The present review collated, from examination of six existing reviews, 14 longitudinal clinical research studies that have specifically investigated depression and/or suicidality outcomes.


Results:


Significantly positive depression outcomes were reported in six studies, and significantly positive suicidality outcomes in two studies. Outcomes were negative in the largest study. Notably, some studies articulated positive conclusions about hormonal interventions even in the setting of insignificant, small or negative findings. Conclusions: Analysis of longitudinal clinical research in this field showed inconsistent demonstration of benefit with respect to depression and suicidality. This analysis suggests that, contrary to assertions of some experts and North American professional medical organisations, the impact of hormonal interventions on depression and suicidality in this population is unknown.


KEYWORDS cross-sex hormones, depression, gender dysphoria, puberty blockers, suicide


traduction fr.


Objectif :


Des revues systématiques de la littérature ont montré que les données probantes sur les interventions hormonales chez les patients d’âge pédiatrique atteints de dysphorie de genre sont d’un niveau de confiance faible. Les études dans ce domaine ont toutes été observationnelles et généralement de faible qualité. Néanmoins, certains experts affirment que les études observationnelles dans ce domaine ont systématiquement constaté une amélioration de la santé mentale et constituent donc une base de preuves suffisante pour les interventions hormonales. La présente revue a cherché à caractériser les résultats des études de recherche clinique longitudinales qui ont rapporté des résultats de dépression et de suicidalité.


Méthodes : La présente revue a rassemblé, à partir de l’examen de six revues existantes, 14 études de recherche clinique longitudinale qui ont spécifiquement examiné les résultats de la dépression et/ou de la suicidalité.


Résultats : Des résultats significativement positifs de la dépression ont été rapportés dans six études, et des résultats significativement positifs pour la suicidalité dans deux études. Les résultats étaient négatifs dans la plus grande étude. Notamment, certaines études ont formulé des conclusions positives sur les interventions hormonales, même dans le cadre de résultats insignifiants, petits ou négatifs. Conclusions : L’analyse de la recherche clinique longitudinale dans ce domaine a montré une démonstration incohérente des avantages en ce qui concerne la dépression et les tendances suicidaires. Cette analyse suggère que, contrairement aux affirmations de certains experts et organisations médicales professionnelles nord-américaines, l’impact des interventions hormonales sur la dépression et les tendances suicidaires dans cette population est inconnu.


MOTS-CLÉS hormones sexuelles, dépression, dysphorie de genre, bloqueurs de puberté, suicide




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