Genspect appelle à la re-psychopathologisation de l’identification transgenre
- La Petite Sirène

- 29 sept.
- 2 min de lecture
Communiqué de presse immédiat
Genspect
27 septembre 2025
Genspect Calls for Re-Psychopathologization of Transgender Identification
Trad. Fr.
Lors du premier jour de la conférence de Genspect à Albuquerque, Mia Hughes a annoncé le lancement officiel de la campagne de re-psychopathologisation de Genspect dans son intervention définissant les identités transgenres comme des croyances surévaluées extrêmes.
Genspect exhorte vivement à la reconnaissance de l’identification transgenre comme une condition pathologique caractérisée par une croyance surévaluée extrême.
Une croyance surévaluée extrême est une conviction rigide, non délirante, partagée et renforcée au sein d’une culture ou sous-culture, défendue avec passion et vécue par l’individu comme entièrement rationnelle. Avec le temps, elle se renforce, résiste à la remise en question et peut entraîner des actions puissantes — voire nuisibles — en son service.
La déclaration de 2010 de l’Association professionnelle mondiale pour la santé des personnes transgenres visant à « dé-psychopathologiser » la variance de genre n’était pas fondée sur une découverte scientifique mais sur un plaidoyer politique. Cette campagne a causé des dommages catastrophiques en supprimant des garde-fous psychiatriques essentiels, en alimentant une contagion sociale et en exposant des personnes vulnérables à une médicalisation expérimentale.
La re-psychopathologisation n’est pas un appel à re-stigmatiser ou marginaliser les individus qui s’identifient comme transgenres. C’est un appel à restaurer la compassion et la clarté : comprendre que cette condition est pathologique, non innée ; la traiter comme une fixation envahissante nécessitant une intervention psychologique attentive, appropriée et éthique ; et empêcher la propagation incontrôlée de cette croyance nuisible.
La campagne de re-psychopathologisation de Genspect n’est pas motivée par la politique, mais par la vérité, et elle est fondée sur un concept psychiatrique de longue date — la croyance surévaluée. Ce n’est qu’en revenant à cette compréhension clinique des identités transgenres que nous pourrons protéger les enfants, les adolescents et les adultes vulnérables et offrir une aide véritable à tous ceux qui sont consumés par cette croyance.
Nous appelons les gouvernements, les associations médicales et les organismes de santé mentale à revoir leurs politiques et pratiques et à les mettre à jour en conséquence. Pour étouffer les flammes de cette contagion et protéger la prochaine génération, nous devons cesser de collaborer avec cette croyance dangereuse et surévaluée et considérer l’identification transgenre à travers le prisme approprié de la croyance surévaluée extrême.





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