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L’Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent interpelle le Comité consultatif national d’éthique sur l’impact des pratiques médicales sur les enfants diagnostiqués «dysphorie de genre»

Une nouvelle entité clinique apparue en 2014 dans le DSM-5, la "dysphorie de genre", donne lieu depuis à des pratiques médicales (bloqueurs de puberté, traitement hormonal) et chirurgicales (mastectomie notamment) mettant en jeu l’intégrité corporelle de jeunes enfants et d’adolescents.

 

· Nous souhaitons alerter le comité d’éthique sur le caractère irréversible de ces interventions.

· Nous souhaitons alerter le comité d’éthique sur des pratiques qui engagent l’avenir de ces enfants et de ces adolescents dans leur vie d’adulte.

· Nous souhaitons alerter le comité d’éthique sur les conséquences d’une certaine propagande qui se médiatise par le biais de documentaires et par les réseaux sociaux qui tendent à banaliser ces transitions sociales et médicales.

Vous trouverez sur notre site:

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- des témoignages

- des études

- des documentaires

- des articles

- des liens vers d'autres sites et pays

Le caractère potentiellement univoque et exclusif de la réponse médicale ainsi faite à l'enfant affirmant une "dysphorie de genre" entraîne une intervention inutile, grave et potentiellement mutilante.

· Ces interventions ont, en effet, un retentissement sur leur vie psychoaffective future, sur leur santé physique (complications des traitements) et sur leur fécondité ultérieure, ce qui nécessite qu’ils se déterminent sur des pratiques de préservation de leur fertilité à un très jeune âge.

· L’intervention sur des organes sains, de même que le consentement sollicité de ces enfants et de ces adolescents à un âge où le processus développemental est en cours d’évolution pose des problèmes éthiques et déontologiques cruciaux qui nous engagent tous.

 

Il nous semble, de plus, fondamental que leurs parents, qui sont en situation de donner ou pas leur autorisation à ces traitements puissent être rigoureusement informés des conséquences de ces traitements à court et moyen terme. Des réseaux d’influence formés par certaines associations, multipliés actuellement par les réseaux sociaux, ne nous semblent pas en situation de donner des informations suffisamment neutres et objectives.

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